Alpes et Lac SA

L’excellence immobilière, sans compromis

 

Depuis plus de trois décennies, Alpes et Lac SA incarne l’excellence immobilière en Valais, sous l’impulsion d’un homme aux talents multiples. Alexandre Günsberg, promoteur visionnaire mais aussi écrivain, journaliste et éditeur reconnu, mène cette entreprise avec une exigence rare. Entre passion pour l’architecture, amour des Alpes et engagement artistique, il insuffle à chaque projet immobilier une dimension humaine et culturelle unique. Des rives du lac de Champex aux hauteurs de Crans-Montana, Alpes et Lac SA signe des réalisations d’exception, reflet d’un parcours aussi riche que singulier.

Un parcours riche en expériences

Créée en 1989 par M. Alexander Günsberg, après déjà 10 ans d’activité immobilière, Alpes et Lac SA s’est établie grâce à une transaction englobant l’acquisition et la transformation de l’hôtel du même nom, un superbe édifice de la fin du 19e siècle sur un terrain de plus de 7700 m2, niché au-dessus du lac de Champex et jouissant d’un des plus beaux emplacements du Valais. C’est ainsi qu’a vu le jour la nouvelle résidence « Alpes et Lac », se composant de pas moins de 49 appartements et d’un restaurant gastronomique. A sa tête, Alexandre Günsberg est un homme accompli aux multiples talents et casquettes. Viennois d’origine, il est né en 1952 à Milan, où le destin a amené ses parents après la Seconde Guerre mondiale. Promoteur immobilier n’est qu’un des chapeaux qu’il porte. C’est l’amour du ski et des montagnes qui l’a mené, en 1981, à Nendaz, où l’achat d’un chalet et les relations et amitiés qu’il a su nouer avec les Nendards l’ont amené à la construction de ses premiers immeubles en Valais. Egalement historien, journaliste, écrivain et éditeur, formé aux universités de Bâle et Zurich, cet amateur du jeu d’échecs, des beaux-arts et de la littérature, préside aujourd’hui le Cercle d’échecs et d’art valaisan, qu’il a fondé en 2015, et impressionne ses interlocuteurs par sa brillance intellectuelle et sa modestie personnelle.

Des programmes exclusivement haut de gamme

Sierre, Sion, Crans-Montana… Ces noms résonnent dans le paysage du Valais, où se trouvent les communes les plus prisées et les emplacements les plus convoités. Dans ce domaine exigeant, Alpes et Lac SA se distingue en proposant chaque année une à deux promotions immobilières, exclusivement dédiées aux appartements haut de gamme. « Nous collaborons avec les meilleurs architectes », souligne M. Günsberg, faisant référence à des noms tels que Roland Vassaux, ancien président des sections Valais de la Société suisse des ingénieurs et architectes (SIA) et de la fédération des architectes suisses (BSA). « Les Crystallines », un ensemble résidentiel spectaculaire avec ses façades transparentes, composé de 2 immeubles de 45 appartements construits entre 2015 et 2016 et entièrement vendus – comme toutes les autres promotions immobilières d’Alpes et Lac SA – en est un exemple éloquent. Conçus par l’architecte-ingénieur Anton Abgottspon, l’un des anciens responsables pour les travaux de protection contre les événements naturels en Haut-Valais, ils incarnent la qualité premium et la modernité des réalisations du promoteur. Parmi ses réalisations notables figurent également le majestueux « Anzère Palace » à Anzère ou encore l’imposant « Grand Chalet Cry d’Err » à Crans-Montana, à Sion, entre 2009 et 2012, ce sont 137 logements d’une qualité remarquable, parfaitement intégrés au cœur de la ville et à proximité de toutes les commodités, qui ont vu le jour dans les quartiers de l’hyper-centre, des Iles, de l’avenue de Tourbillon ou de la rue Hermann Geiger.

LE PALLADIO, Conthey

La construction des deux nouvelles résidences Le Palladio A et B à Conthey est désormais terminée. Situées dans un quartier résidentiel calme et ensoleillé, à proximité des écoles, commerces et de la gare (zone 30 km/h), ces résidences avaient été annoncées dans notre magazine l’an dernier. Tous les appartements ont trouvé preneur, à l’exception de quelques attiques de luxe encore disponibles. Ces biens d’exception, aux surfaces généreuses allant de 105 à 140 m2 avec balcons jusqu’à 60 m2, sont uniques sur le marché. Incomparables à ce que l’on trouve à Crans-Montana ou Verbier – à un prix trois ou quatre fois plus élevé –, ils offrent un living jusqu’à 60 m2, une cuisine haut de gamme avec îlot central et frigo américain, de grandes chambres, des salles de bains spacieuses, une tour de lavage privée, des stores solaires thermiques, des prises au sol et une garantie de chauffage exclusive de 30 ans, incluant le remplacement gratuit du système.

Le Grand Golf, Grone

La nouvelle résidence « Le Grand Golf » à Grône incarne l’alliance parfaite entre confort moderne, nature et qualité de vie. Développée par Alpes et Lac SA, entreprise valaisanne de renom depuis plus de 45 ans, cette 101e promotion immobilière verra le jour en 2027 dans un cadre unique et recherché, à quelques pas du golf 18 trous de Sierre et des lacs de la Brèche et de la Corne.
Idéalement située, la résidence bénéficie d’un ensoleillement optimal toute l’année. A seulement cinq minutes à pied, on trouve les écoles, le collège des Sports, la piscine couverte et l’arrêt de bus. Les accès autoroutiers pour vous rendre à Sion ou Sierre, sont accessibles en moins de cinq minutes en voiture. Les stations de ski renommées telles que Crans-Montana, Verbier-Nendaz, Grimentz-Anniviers, Anzère, Nax ou encore Vercorin entourent la résidence, offrant une proximité idéale avec les loisirs de montagne été comme hiver.
Le Grand Golf propose 30 studios et appartements d’exception aux finitions soignées, avec chacun un grand balcon couvert, des cuisines et salles de bains haut de gamme, une tour de lavage privée et de larges portes-fenêtres avec triple vitrage. Une attention particulière a été portée à la durabilité et au confort avec un système de chauffage et de climatisation écologique garanti 30 ans, combinant pompe à chaleur et panneaux photovoltaïques, un atout unique en Valais.
Tous les logements sont vendus avec les garanties SIA et UBS, gage de sécurité et de qualité pour les futurs acquéreurs. Que ce soit pour y habiter ou pour réaliser un investissement locatif pérenne, Le Grand Golf représente une opportunité rare dans l’immobilier valaisan. Ces biens constituent une valeur sûre, dans la continuité de la réputation d’excellence des projets signés Alpes et Lac SA.

Alpes et Lac SA
Promotion et vente immobilière
Rue de la Dixence 49 – CH-1950 Sion
Tél.+41 27 322 50 80

M. Alexandre Günsberg, administrateur, journaliste et écrivain, est à votre disposition au 079 353 09 00

info@alpesa.chwww.alpesa.ch

 

Alexander Günsberg, une voix littéraire marquante entre mémoire et modernité

 

Alexander Günsberg, fils de survivants austro-hongrois de l’Holocauste, après une jeunesse marquée par l’après-guerre à Vienne en Autriche, a fait ses études de littérature allemande et histoire aux universités de Zurich et Bâle. Romancier d’exception, il s’est imposé sur la scène littéraire internationale, salué tant à la Book Expo de New York qu’à la Foire du livre de Francfort. Ses œuvres puissantes puisent leur force dans une mémoire familiale marquée par la résilience, la transmission et la quête d’identité. A travers des récits portés par une écriture précise et profondément humaine, il interroge les héritages du passé tout en explorant les complexités du présent. Il écrit avec une intensité rare, mêlant l’intime à l’universel, l’Histoire à la fiction. Ses romans captivants plongent le lecteur dans des univers à la fois familiers et déroutants, où se croisent mémoire, exil, amour et espoir. Parmi ses romans les plus remarqués figurent, la trilogie LE MONDE DES JUIFS, NENA, NATASCHA, TANZ DER VEXIERE, MISCHA TUROW, L’AFFAIRE EISENSTADT sorti récemment, ou encore EINHEIT 18. Le nouveau roman OPERATION OSAR est en préparation. Certains sont traduits en plusieurs langues et tous sont salués pour leur portée émotionnelle et historique.

Ses ouvrages, disponibles chez ABER VERLAG, sont à commander via info@alpesa.ch
Plus d’informations sur : www.alpesa.ch/auteur-alexander-gunsberg

 

Michael Graber, conseiller national valaisan

« L’état est menotté par la loi.
Le citoyen est libre de faire tout ce que la loi ne lui interdit pas. »

Michael Graber, docteur en droit, répond aux questions posées par Alexander Günsberg, expert immobilier, journaliste et écrivain

Maître Graber, vous êtes le nouveau conseiller de Brigue en charge des constructions et avez déjà licencié le chef de l’édilité. Quelle était la raison et quelles améliorations prévoyez-vous ?
Il faut prendre ses responsabilités, si cela est nécessaire. C’est mon devoir envers les citoyens et les propriétaires. Il faut une gérance de l’édilité pragmatique et proche de la population, non seulement pour les demandes de construire, mais aussi pour l’aménagement du territoire, la planification de la gare, les affaires immobilières en générale et l’urbanisme. Beaucoup de tâches attendent la ville de Brigue-Glis. Je suis reconnaissant d’avoir été mandaté par le Conseil communal pour gérer ce département clé.

Le dépassement de compétence des fonctionnaires dans le domaine de la construction suscite de vives discussions, non seulement en Suisse, mais aussi à l’étranger. Stefan Zweig et Joseph Roth le décrivaient dans leurs ouvrages sur la monarchie austro-hongroise. Que pensez-vous du phénomène selon lequel certains chefs d’édilités refusent de signer les autorisations de construire si le requérant n’accepte pas leurs exigences allant au-delà du règlement communal, ralentissent délibérément le processus d’autorisation et tentent d’imposer leur volonté aux autorités politiques élues ?
Une administration puissante tend à s’autonomiser, un phénomène que l’on observe également au sein de la Confédération et des cantons. Or, l’administration doit rester subordonnée aux décisions des autorités politiques, et non l’inverse. J’ai toujours entretenu une relation critique et réservée envers l’Etat, convaincu qu’il faut en alléger les structures. C’est cette approche que j’applique dans mon nouveau département, dans l’intérêt des propriétaires. Il ne s’agit pas d’en faire une question politique, mais de respecter les lois et les règlements en matière de construction. L’erreur est humaine, mais nos décisions doivent toujours viser les intérêts du demandeur, dans le cadre légal. L’Etat est lié par la loi, tandis que le citoyen est libre, tant que la loi ne le lui interdit pas.

Vous représentez la population valaisanne au Conseil national à Berne. Que ferez-vous pour remédier aux dégâts que la Lex Weber a causé en Valais ? En 2012, cette initiative n’a été acceptée qu’avec une majorité de 50,6% et un taux de participation d’à peine 44,5%. Elle limite la construction d’appartements de vacances dans les stations de vacances à 20%, alors que les vacanciers représentent jusqu’à 90% de la population en saison. En les chassant, on met l’avenir des stations suisses en péril. La concurrence en Autriche et en France ne dort pas et en profite.
En tant que membre de la Commission de l’environnement, de l’aménagement du territoire et de l’énergie du Conseil national, j’ai, à plusieurs reprises, demandé des adaptations de la loi fédérale sur les résidences secondaires. Au nom du plus grand groupe parlementaire, j’ai soutenu la possibilité de créer des logements supplémentaires lors d’agrandissements réalisés dans le cadre de la législation actuelle. Cela permettrait, en cas de démolition et de reconstruction d’anciens logements, d’augmenter de 30% la surface utile principale, de créer de nouveaux logements et de les reconstruire ailleurs sur le même bien-fonds. Il s’agirait là d’une amélioration significative de la loi en vigueur.

En 2017, au Grand Conseil valaisan, vous avez présidé la commission qui a adopté la nouvelle loi cantonale sur les constructions. Personnellement, vous étiez opposé à cette loi. Elle avait pour but d’augmenter la densité constructible, mais comme tout le monde le sait, a amené plus d’inconvénients que d’avantages. Que prévoyez-vous à ce sujet ?
En tant que conseiller communal de Brig-Glis, il est de mon devoir de mettre en place un nouveau règlement sur les constructions d’ici au 31 décembre 2029. J’entends utiliser pleinement ma marge de manœuvre en faveur des propriétaires. Par ailleurs, je suis en contact constant avec nos députés cantonaux afin d’obtenir des améliorations de la loi cantonale sur les constructions. Chaque année, de nouvelles lois viennent alourdir les procédures, renchérissent les coûts de construction et font grimper les prix de l’immobilier ainsi que les loyers, sans pour autant apporter de réels bénéfices.

Comment pensez-vous mettre fin à cette mauvaise évolution ?
C’est une mission herculéenne. Chaque nouvelle loi nécessite davantage de personnel chargé d’en surveiller l’application, ce qui contribue sans cesse à l’expansion de l’appareil étatique. L’administration fait preuve d’une grande créativité lorsqu’il s’agit de préserver ses postes, voire d’en créer de nouveaux. Depuis plusieurs années, je m’engage tant au sein du gouvernement de Brig-Glis qu’au Parlement à Berne en faveur d’une réduction des réglementations, et je poursuivrai résolument dans cette direction.