27 Mai Carthoblaz SA

Une polyvalence qui fait sa force

Visionnaire, Stéphane Carthoblaz, croit dès 2009, dans les rénovations. Encore peu courantes à l’époque, il s’en fait une spécialité avec le temps et en est aujourd’hui un acteur incontournable. Pour autant, il est sollicité pour tous types de travaux dans ses 4 grands domaines d’action : l’étanchéité, la couverture, la ferblanterie et les façades. Ce panel de propositions le différencie et lui vaut de multiplier des chantiers dans tout le Valais central.

D’hier à aujourd’hui

Au bénéfice d’une maîtrise fédérale en ferblanterie et d’un brevet fédéral de conseiller énergétique, Stéphane Carthoblaz travaille dans le secteur avant d’acquérir la société Mathieu Associés en 2009. Alors en perte de vitesse, il veut lui donner un nouveau souffle. Très vite, il croît dans les rénovations et s’implique à promouvoir ce type de travaux peu demandés dans ces années-là. Pour faire croître son entreprise, il répond à toutes les sollicitations et collabore plus spécialement avec une importante entreprise générale. Aujourd’hui, 80% de ses chantiers concernent des rénovations qu’il réalise avec son équipe de 8 collaborateurs. De plus, par ses connaissances, il prodigue des conseils pour assainir et rénover efficacement et durablement chaque bâtiment afin d’optimiser la consommation d’énergie, en tenant compte des désirs des utilisateurs.

Se démarquer

Carthoblaz SA se différencie par la multiplicité des métiers qu’elle propose. Ceci lui permet ainsi de réaliser autant une toiture en pente ou plate, de la ferblanterie qu’un revêtement de façade ou de terrasse. De plus, l’entreprise est dotée d’un matériel performant et peut compter sur les savoir-faire de son équipe. Tout ceci peut également la conduire à réaliser l’enveloppe complète d’un bâtiment ou juste une partie. Quelle que soit la taille du chantier, elle a les compétences. A titre d’exemple, elle a fait 1000 m2 de façade, l’isolation et les revêtements extérieurs en tôle et en ardoise à la demande d’un client. Cette polyvalence lui vaut de travailler autant pour des architectes, des particuliers que des PME. Si cette dernière est une force assurée, elle en détient une autre connue et reconnue : la qualité du travail rendu. En effet, Stéphane Carthoblaz met un point d’honneur à œuvrer dans les règles de l’art pour satisfaire pleinement sa clientèle.

Carthoblaz SA
Rue des Pommiers 52 – CH-1962 Pont-de-la-Morge (Sion)
Tél. +41 79 465 73 / +41 27 323 44 70
info@carthoblaz.ch – www.carthoblaz.ch

«Passion»

La montagne «gravée dans son cœur»

Valaisan, Stéphane a vécu et vit dans un environnement unique qui lui vaut des passions qui riment avec sommet.

Des vaches? Non, des Hérens!

Enfant, Stéphane rejoignait chaque jour sa grand-mère qui détenait un troupeau de vaches d’Hérens. Il l’aidait à s’en occuper, à les traire. Très vite, il s’est pris de passion pour ces bêtes qui ont pour lui un véritable rapport affectif à l’humain. Chaque année, le moment le plus attendu était la montée à l’alpage. Les combats qu’elles y menaient pour devenir reine le fascinaient. Aujourd’hui, encore, il aime toujours autant ces instants hors du commun, si naturels pour cette race.

Eté comme hiver

La montagne est dans l’ADN de Stéphane. Elle l’interpelle. Se disant privilégié de vivre en Valais, il en profite à chaque saison. L’hiver, depuis une dizaine d’années, il pratique la randonnée à ski. Des sorties qui peuvent lui valoir des souvenirs inoubliables quand la qualité de la neige et le soleil sont au rendez-vous. Des moments forts, il en vit également durant l’été. Avec son épouse, ils aiment arpenter la vallée de Derborence qui offre une multitude de balades aux points de vue uniques.

A l’assaut des sommets

Dernière-née des passions de ce montagnard, l’alpinisme. Ainsi, depuis 2 ans, il s’est fixé l’objectif de faire chaque année un 4000 mètres. Même si le sport fait partie intégrante de son quotidien, là les choses prennent de l’ampleur ! Pour son premier sommet, son guide lui a d’abord fait escalader une falaise plutôt difficile pour qu’il prenne définitivement ses marques. Le lendemain, à 4 heures du matin, le départ pour l’ascension du Weissmies était lancé. Quelques heures plus tard, l’effort était récompensé par une arrivée à 4017 mètres d’altitude alors que le soleil pointait à l’horizon. En 2024, les choses ont pris une autre dimension puisque c’est avec son fils qu’il est parti à l’assaut du Lagginhorn. Un souvenir inoubliable. Quel sera son choix pour 2025 ? Cela se réfléchit. Et quand on demande à ce passionné quel serait le sommet de ses rêves, la réponse est la Dent Blanche. A suivre !